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− Selon le Dictionnaire des Synonymes, Crisco, le mot majesté signifie: Caractère de grandeur qui impose le respect. Ce terme détient les synonymes suivants:
«Beauté, dignité, éclat, empereur, excellence, gloire, grandeur, gravité, magnificence, noblesse, pompe, prestige, prince, richesse, roi, sire, solennité, somptuosité, souveraineté, splendeur, superbe.»
Or, la définition de tous ces termes représente les nombreuses caractéristiques de l'Esprit des vivants, dans l'essence de son existence éternelle. Ils vont nous servir individuellement pour élaborer la Majesté de l'Esprit des vivants, dans la mesure qu'il nous l'accorde dans sa grâce merveilleuse, nous inspirant à rédiger son contenu.
L'expression «sa Majesté» est, chez les hommes de ce monde, un postulat honorifique, régie par les conventions diplomatiques pour se référer à un monarque (roi, reine, sultan, prince souverain, princesse souveraine, empereur ou impératrice). Il est utilisé de manière protocolaire. «Sa Majesté impériale» est parfois utilisé pour se référer aux empereurs et aux impératrices.
Mais le chrétien authentique n'est pas soumis à de telles règles, car il y a plus grand que tous ici, puisque nous parlons d'un attribut divin, céleste et éternel, qui s'applique au Roi des rois et Seigneur des seigneurs, à savoir JÉSUS, l'Esprit des vivants Tout-puissant et Admirable Souverain Suprême, la Majesté Sublime et Éternelle. Sa désignation de JE SUIS nous indique qu'il est incomparable, et que SON NOM est au-dessus de tous les noms qui puissent exister dans le monde des hommes (Philippiens 2:9-11). En d'autres mots, JÉSUS est LE NOM DE DIEU de toute éternité, et SA MAJESTÉ ne connaît aucune borne, elle est illimitée à l'infini. L'essence de son renoncement Sublime dans l'unité de son ensemble du Corps des élus, est inconcevable à l'imagination des hommes. Les merveilles de sa gloire sont insondables. La lumière éblouissante de sa Sainte Présence, remplie tout en tout, et les élus demeurent dans sa Splendeur pour l'éternité (voir: Nous le verrons tel qu'il est).
En langue française, pour s'adresser à un monarque (et non plus pour se référer), on utilise le déterminant possessif de la 2e personne du pluriel (ici appelé pluriel de majesté): «Votre Majesté». Les membres de leurs familles ont droit au prédicat d'altesse royale, ou d'altesse impériale sur le même principe: «Son Altesse royale» pour se référer à l'altesse en son absence (par exemple pour s'adresser au personnel attaché à l'altesse royale dont il est question), «Votre Altesse royale» dans une adresse plus directe, sans intercession. Comment plus ces choses devraient s'appliquer aux élus, qui sont membres du Corps de Christ, notre Roi. Nous qui sommes «fils du Roi», nous sommes donc de la famille de Sa Majesté, et nous portons en réalité la désignation de «Son Excellence», puisque nous sommes l'excellence de sa grâce et de sa gloire. Nous maintenons ainsi une position sublime par rapport au reste du monde, car nous sommes en ce monde, mais nous ne sommes pas de ce monde.
Or, dans le contexte de notre document, nous ne parlons pas d'un être humain qui est glorifié par des titres pompeux, qui exige une politesse hypocrite; mais du Dieu de l'univers, qui exige un respect révérenciel, non dans un esprit d'hypocrisie, mais de vérité. S'adresser à l'Esprit des vivants comme on s'adresse à un homme, serait une grande offense à la dignité de sa Majesté. Notre Admirable Souverain Suprême doit être honoré en tout temps et en toutes choses, car il en est digne. Celui qui a renoncé à sa vie sur la croix, pour nous racheter dans d'affreuses souffrances, mérite tout notre respect. S'il en est ainsi pour la Tête du Corps, il en est de même pour tous ces membres. Son nom glorieux est gravé dans le cœur de tous les élus, où il réside en vue de leur transformation en son image. Nous devons nous écrouler dans la poussière de l'humilité, devant une telle merveille prodigieuse, et magnifier son nom devant tous les hommes dans une révérence totale. Que le Roi de l'univers, le Créateur de toutes choses, notre Sauveur et Seigneur soit venu habiter dans des vases de terre misérables, comme nous sommes, nous émerveille au plus haut point. Nous pouvons que lui en être reconnaissant, dans une pleine admiration de sa gloire, qui nous transporte en sa Sainte Présence. À lui revient tous les honneurs et toute la puissance, au siècle des siècles.
Certains États monarchiques ont réglementé les titulatures des souverains, dans certains cas pour préserver les traditions historiques. Mais celles de l'Esprit des vivants, le sont par une troupe d'anges innombrables, non selon la tradition des hommes, mais selon l'excellence d'une existence impérissable et éternelle. Les hommes et leurs épithètes seront réduits en poussière, mais notre Esprit des vivants demeure éternellement.
Dans le cas particulier du Saint-Siège, qui est une monarchie élective, la qualification employée pour le «souverain pontife» est «Sa Sainteté», tous des titres d'une arrogance blasphématoire, qui élèvent l'homme au niveau de la divinité, comme ce fut le cas avec les anciens empereurs romains. Mais en vérité, son titre est plutôt «Sa Chienteté, l'Imposteur de Dieu», l'anchien instigateur de la rébellion, la flatulence du dragon, c'est-à -dire, l'Antichrist, le Chien Père du mensonge et de la duplicité, qui se veut Dieu sur la terre. Le titre de Souverain Pontife, ou Père Souverain, appartient à Dieu seul, aucun homme ne peut le revendiquer.
Cela nous porte dans l'antiquité au temps des souverains et des empereurs, qui dominaient sur les anciens empires. Nemrod, roi de Babylone; Pharaon, souverain de l'Égypte; Alexandre le Grand, de la Grèce; César et tous les empereurs romains; et finalement la papauté, qui prit la relève. Dans les anciens temps, il existait ce qu'on nomme le culte d'adoration des empereurs, qui exigeait la reconnaissance de la divinité à leurs sujets, souvent sous peine de mort ou de tortures atroces. Ce culte a disparu, mais se retrouve subtilement de nos jours dans la mouvance dite Évangélique, avec son culte idolâtre de l'estime de soi, qui valorise les efforts de la dignité humaine, dans une façade de respectabilité. Tous sont des petits empereurs, des petits papes, qui s'imaginent détenir l'autorité sur la vérité dans la Parole de Dieu, qu'ils tordent à leur guise. Mais, tous périront misérablement dans leurs turpitudes et leurs dérèglements. Leur arrogance et leurs fausses doctrines périront avec eux, et tous les élus s'en réjouiront. Le jour de vengeance de notre Dieu est à la porte, et aucun n'échappera à sa juste colère.
Pour les États républicains, on utilise dans la plupart des cas, la qualification «Son Excellence». Mais cette désignation prétentieuse ne fait qu'illustrer en réalité, l'excellence de dissimuler la pourriture dans la nature humaine déchue et corrompue, sous des titres élogieux. L'apparence est l'essence de la nature charnelle de l'homme, qui se veut maître de son destin. La prétention, l'exagération, l'infatuation, et la présomption sont ses principes de base, pour déterminer son existence. Par nature, l'homme est complètement égocentrique, égoïste et hostile à tout ce qu'on nomme Dieu, et à toute la vérité de sa révélation. Seuls les élus en estiment l'importance dans leur vie de tous les jours, car l'Esprit de Vérité est l'Esprit de Christ qui habite en eux.
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