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Suppression de la réflexion dans les expressions de la raison

Suppression de la réflexion dans les expressions de la raison

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| Dernière mise à jour il y a 1 mois, le 14 octobre 2022 par GoDieu.com

Suppression de la réflexion dans les expressions de la raison
Suppression de la réflexion dans les expressions de la raison

 

Suppression de la réflexion
dans les expressions de la raison

Texte d’Ariel sur la faculté du raisonnement charnel

par
Jean leDuc

Septembre 2021

 


Réflexion sur l’origine de la vie humaine

Renoncement

Abandon

Abnégation

Conversion

Démission

Détachement

Résignation

Sacrifice

L’étymologie de l’image parfaite de Dieu

Les expressions dans la raison charnelle

L’image de Dieu restaurée en Christ

L’image dans la Sainte Présence de Christ en nous


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Réflexion sur l’origine de la vie humaine

Le fait qu’il est dit dans la Bible que l’homme a été créé à l’image de Dieu, n’a pas manqué de susciter l’intérêt d’un grand nombre d’apologistes, exégètes, théologiens, et de simples chrétiens à travers les âges. Malgré toutes les études profondes entreprises sur ce sujet vital, aucun n’en a saisi la réalité, tous sans exception ont manqué d’y comprendre l’essence de la vérité. Mais il importe de remarquer que tous ces gens sont de la croyance dite orthodoxe du christianisme contrefait, ancien comme moderne, et particulièrement de la mouvance contemporaine dite Évangélique. Leurs approches sur le sujet sont donc, teintées et faussées dès le départ, par quatre facteurs qui les portent inévitablement à des notions contrefaites et dénaturées:

  1. Leur croyance en l’hérésie abominable du dogme de la trinité de trois personnes distinctes en Dieu, provenant des théoriciens du néo-platonisme, et de notions des anciennes religions à mystères babyloniennes. Cette abomination monstrueuse présente «l’image» d’un faux dieu, qui est la base d’un christianisme contrefait, et de nombreuses fausses doctrines.

  2. L’hérésie philosophique infernale du libre-choix illusoire, qui valorise les impulsions et les efforts de la dignité humaine, dans ses présomptions et désirs captieux de se justifier, déformant ainsi la signification réelle de la foi, pour en faire une faculté intellectuelle ou émotionnelle d’une décision personnelle de croire. Cette notion abominable, s’oppose au principe du renoncement éternel, qu’elle ne peut saisir à cause de ses prétentions égocentriques, et dont «l’image» véritable ou principe vital est le sacrifice de la croix. Ce principe d’un raisonnement charnel est la base de l’apostasie, et du christianisme contrefait moderne.

  3. Le refus obstiné et diabolique, de reconnaître la vérité de la dépravation totale et absolue de la nature humaine, entièrement déchue et complètement corrompue, dont la volonté est esclave de la chair et du péché. Cette notion d’un raisonnement rusé ou serpentin, était la source du mécontentement qui engendra la rébellion en Éden, et la cause principale que «l’image» de Dieu fut retirée de l’homme pour tous les temps. La chute de l’homme dans le Jardin d’Éden ou Enclos de la Grâce, fut le moment exact où la nature humaine devint déchue et corrompue. La condition de l’homme devint irrémédiable, et la race humaine fut condamnée à la perdition éternelle.

  4. Leur déformation de la double prédestination, s’opposant ainsi à la souveraineté absolue de Dieu, et conséquemment à son «image» parfaite, et faisant de l’homme le maître de son salut et de sa perdition. Ils ont rejeté le décret de réprobation ou exclusion, et ont modifié subtilement le décret d’élection pour plaire à leurs caprices, et soutenir leurs organisations religieuses dites chrétiennes.

La doctrine chrétienne et biblique de l’homme créé à «l’image» de Dieu, est centrale au décret éternel d’Élection ainsi que celui de la Réprobation, pour l’accomplissement des dessins de Dieu, notre Esprit des vivants, dans lesquels tout a été prédéterminé d’avance, selon le bon plaisir de sa volonté, et la gloire de son nom Glorieux et Admirable de JÉSUS, à qui revient tous les honneurs, la puissance, et la gloire.

La notion selon laquelle l’humanité ou race adamique initiale, était parfaite et unique en son genre au début des temps, agissant comme un seul homme, d’une seule pensée, d’un seul souffle, d’une même conscience, et d’un seul désir, parmi toute la création, et formée par Dieu à sa propre «image», et selon sa «ressemblance» d’une perfection sublime et inaltérable, est déformée subtilement par les ennemis de la vérité à tous les niveaux académiques, philosophiques et théologiques.

Or, il nous importe de savoir, par la Sainte Présence de Christ qui nous habite pour nous instruire, et nous diriger dans la vérité de sa révélation, qu’est-ce que cela veut réellement dire, être créé à l’image de Dieu? Regardons premièrement les passages de Genèse 1:26-31 (Bible de Machaira 2020), à propos de ce sujet:

26
Puis L’ESPRIT DES VIVANTS dit: Que l’humanité soit faite selon notre apparence, selon nos consciences d’existences, et qu’elle domine* sur les poissons de la mer, et sur les oiseaux des cieux, et sur le bétail, et sur toute la terre, et sur tous les êtres rampants qui glissent sur la terre. *Au début de son existence, la race adamique initiale avait été donnée la puissance et l’autorité de régir toutes les lois universelles sur tout ce qui existe dans la Création;

27
Et L’ESPRIT DES VIVANTS créa l’humanité à son image; il la créa à l’image de L’ESPRIT DES VIVANTS*; il les créa mâles et femelles. Ge. 5. 1; Ge. 9. 6; Mt. 19. 4; 1 Co. 11. 7; Ép. 4. 24; Col. 3. 10; *Création de la race adamique initiale en une multitude infinie de mâles et de femelles.

28
Et L’ESPRIT DES VIVANTS les bénit; et L’ESPRIT DES VIVANTS leur dit: Augmentez et devenez nombreux, et remplissez la terre, et maîtrisez-la, et dominez sur les poissons de la mer et sur les oiseaux des cieux, et sur toute créature vivante qui s’assemble sur la terre. Ge. 8. 17; Ge. 9. 1-2; Ge. 9. 7;

29
Et L’ESPRIT DES VIVANTS dit: Voici je vous ai donné toute herbe portant semence, qui est à la surface de toute la terre, et tout arbre qui a en soi du fruit d’arbre portant semence; ce sera votre nourriture Ge. 9. 3; Ps. 104. 14-15;

30
Et à toutes les créatures vivantes des champs, et à tous les oiseaux des cieux, et à tout ce qui s’assemble sur la terre, qui a en soi la vie, j’ai donné toute herbe verte pour nourriture; et cela fut ainsi. Ps. 104. 14;

31
Et L’ESPRIT DES VIVANTS vit tout ce qu’il avait fait, et voici, c’était d’une suprême excellence. Et il y eut un soir, et il y eut un matin; ce fut le sixième jour. De. 32. 4; Mc. 7. 37;

Il est évident que Dieu ne nous ressemble absolument pas, dans le sens physique et corporel du terme. Dieu est un pur Esprit, dont le nom en Hébreu est «Élohim», terme au singulier qui désigne un pluriel comme celui de «famille», et qui se traduit par «Esprit des vivants». Il indique une pluralité infinie de consciences d’existences dans l’ensemble de son essence unique, qui décrit son existence éternelle. En d’autres mots, Dieu est «UN», unité parfaite et indivisible d’une grande multitude, et non trois personnes distinctes, comme nous voyons dans l’hérésie abominable de la trinité. Pour décrire cela plus clairement, il s’agit de l’Alliance Éternelle d’une multitude infinie des émanations de son renoncement perpétuel et éternel, qui sont les élus, entourés d’anges innombrables, et formant un tout dans l’ensemble de leur existence glorieuse. En d’autres mots, une armée céleste d’immortels purement spirituelle, et possédant la toute-puissance divine de son ensemble d’interaction récurrente et éternelle, comme «UN SEUL ÊTRE SUPRÊME». Il va presque sans dire que Dieu, notre Esprit des vivants, n’a pas de corps physique ou substantiel, et qu’il existe dans l’éternité où le temps n’existe pas, car tout y est d’un présent constant et immuable dans un épanouissement de merveilles en merveilles. Une telle existence glorieuse est inconcevable à l’homme mortel. Il est notre Admirable Souverain Suprême sous le nom de JE SUIS, l’Autosuffisant, celui qui est Autonome et Indépendant, notre Créateur et notre Sauveur merveilleux. Il a toujours existé, il est omniscient, omniprésent, immuable, et tout-puissant, et rien ne lui est impossible. Il est d’une pureté sublime, et d’une gloire éblouissante inconcevable et insondable. Il transcende sa création tout en étant présent partout et en tout temps. Il est le Souverain absolu sur toutes choses, notre Roi, notre Ami et Confident le plus intime, c’est-à-dire, pour ses élus seuls, en qui, en ce monde charnel, sa Sainte Présence, c’est-à-dire, son «image» parfaite du renoncement de Lui-même, habite par le sang de sa croix qui les purifie pour en faire sa résidence sacrée.

Il est donc clair que la création de la race adamique initiale, avait été créée en pleine maturité, et était à «l’image» et la «ressemblance» parfaite de son Créateur, avant que le péché de rébellion entre dans le cœur de l’homme. De plus, puisque l’Esprit des vivants est une multitude infinie d’émanations de son renoncement, il en advient que la création de l’homme ne consistait pas d’un seul homme et d’une seule femme, mais d’une multitude infinie qui se multipliait, non par la procréation génétique, mais par la réflexion dans ses expressions du renoncement de la divinité, et remplissait tout l’univers; car telle est «l’image» véritable et parfaite de Dieu dans tous les aspects de son existence. En d’autres mots, il s’agissait d’une race corporelle d’immortels parfaite et sublime, d’une puissance et d’une connaissance inimaginable, qui surpasse notre compréhension. Elle était, comme il est dit dans Genèse 1:31, «d’une suprême excellence».

Maintenant, si vous avez suivi soigneusement et attentivement tout ce que nous avons dit plus haut, vous pourrez saisir la vérité sur l’identité réelle de «l’image» de Dieu, qui nous est donné de vous transmettre par la grâce merveilleuse de la Sainte Présence de Christ qui nous habite. Cette notion qui a échappée à la compréhension des réprouvés à cause de leurs ambitions, et aspirations charnelles et mondaines, est que «l’image» de Dieu est «le RENONCEMENT» dans tous les aspects et définitions qui s’y rapportent.

 

Renoncement

Cesser de revendiquer un droit, un avantage, une condition. Ceci fut la position de Christ dans le jardin de Gethsémané, terme qui signifie littéralement «lieu du pressoir», et nous indique la pression extrême que subissait le Seigneur Jésus, devant la mort horrible de la croix qui l’attendait. «L’image» que nous en avons est celle du renoncement parfait dans des douleurs atroces. De plus, ce terme signifie ne pas se défendre, de cesser volontairement de poursuivre un effort, ou d’accepter que quelque chose ne se fasse pas. C’est exactement ce qui se produisit, lorsque le Seigneur Jésus dit quelques moments après, qu’il avait dix légions d’anges à sa disposition pour venir à son aide, mais il refusa de le faire. Il sacrifiait ses besoins personnels, son importance, en vue d’une plus grande perfection. Ceci est le principe vital qu’il anime en chacun de ses élus véritables, en qui, il vient habiter par sa Sainte Présence, par la puissance de son exaltation. Ses paroles résonnent encore en nos oreilles: «Celui qui s’élève sera abaissé, et celui qui s’abaisse sera élevé». Nous apprenons ainsi, que l’abaissement ou humilité est la base même du renoncement. En d’autres mots, le renoncement sans humilité n’est que de la prétention et de l’égoïsme, c’est-à-dire, une personne qui cherche à retirer de la gloire de ce qu’elle se prive, ou de ce qu’elle fait supposément pour Christ.

 

Abandon

Un des principes du renoncement, qui signifie l’action de rompre le lien qui attachait une personne à une chose ou à une autre personne. Nous sommes appelés, par la Sainte Présence de Christ dans son principe de renoncement, à rompre les liens avec les faux frères ou imposteurs, mais non définitivement avec les gens du monde.

Premièrement, il y a des élus parmi eux que nous ne connaissons pas.

Deuxièmement, nous devons vivre parmi eux afin d’être éprouvé dans l’assurance que nous avons en Christ, en plus, ils sont trop nombreux, que nous en séparer complètement serait impossible.

Le mot «abandon», signifie aussi de renoncer à la possession d’un bien, de s’en priver, ou de le partager avec un autre, ou de venir à l’aide d’un autre en besoin, sans murmurer et sans rechercher à s’en glorifier, comme si cela viendrait de nous. Action de cesser de s’occuper d’une chose à laquelle on était lié par l’intérêt qu’on lui portait, ou par un engagement. Beaucoup de ce que nous faisons n’est pas utile, et peut parfois être nuisible à notre formation dans la grâce. Nous devons apprendre le discernement, et l’exercer avec sagesse sous la direction de la Sainte Présence de Christ qui nous habite. Nous devons aussi cesser de laisser aller notre corps, notre cœur, notre esprit à toutes impulsions et influences charnelles et mondaines. Nous devons apprendre à résister, et à nous soumettre à Christ pour toutes choses.

 

Abnégation

Le renoncement dans le sens de sacrifice volontaire, consenti dans un intérêt supérieur et portant sur soi-même, ou sur une valeur qui représente généralement un intérêt, une ambition, une satisfaction légitime, etc.. Se sacrifier pour des motifs de perfection morale et spirituelle, et qui en coûte à celui qui y consent.

 

Conversion

Principe de renoncement qui provient uniquement de l’Esprit des vivants, et qui par sa puissance, occasionne un changement, par retournement, du sens d’un mouvement en cours. Porte le sens de reconsidérer ou repentir. Modification progressive par l’Esprit de Christ, qui porte un élu dans une nouvelle direction. Transformation par la puissance de Dieu d’une personne dans sa nature pécheresse, ou de son égarement dans des voies de perdition. Le Bon Berger trouve et restaure la brebis perdue. Il change son cœur pour un autre, le siens. Ce terme représente aussi l’affinage de la foi par des épreuves, ce qui est nécessaire à notre croissance. Il indique aussi une transformation d’énergie par celle de Christ en nous, pour que nous puissions faire face aux problèmes de la vie. Il se produit le remplacement d’une dette envers la loi, par le principe de substitution, et un échange de nature contre une autre. Nous sommes adaptés à une nouvelle existence en vue de notre transformation finale. Nous sommes soumis à la volonté de Dieu, qui nous pousse à répondre à l’appel irrésistible de la grâce. Ce terme signifie aussi d’adopter des nouvelles idées, des nouvelles valeurs, des nouvelles habitudes, et indique un changement radical de la vie par la Sainte Présence de Christ qui vient habiter en nous.

 

Démission

Concept qui se rapporte à une personne ou une collectivité de renoncer, généralement de plein gré, à une fonction, à une charge, à une dignité, à une idéologie, à un raisonnement ou façon de penser. De renoncer à un avantage. Renoncer de son vivant à tous ses biens en faveur de ses héritiers présomptifs, tout en conservant le droit de révoquer cette démission. Il est souvent utilisé dans le sens de démission de la raison.

 

Détachement

Se détacher, de dégager d’un lien, de séparer quelque chose de ce à quoi il adhère, avec quoi il est en contact. Principe qui se rapporte aux passions de la chair, à la convoitise des yeux, et à l’orgueil de la vie. Désigne aussi un petit groupe de personnes, séparés d’un ensemble, pour une mission spéciale, comme la proclamation de la vérité et pour le combat de maintenir la foi réelle. Action de se dégager de liens d’intérêt, moraux, intellectuels, ou spirituels. Se détacher des fausses églises, des faux frères, des fausses doctrines, d’un faux christianisme.

 

Résignation

Attitude d’une personne qui accepte, sans se révolter, dépendant des cas ou situation, une chose pénible ou désagréable, qu’elle juge inévitable. Prendre conscience que Christ en nous est en parfait contrôle sur toutes choses, et qu’il veille sur nous.

 

Sacrifice

Principe sacré par lequel une personne, un groupe, ou une communauté offre à Dieu, selon un certain rite, et pour se concilier, une victime mise à mort. Se rapporte aux sacrifices sous la loi pour les péchés du peuple Hébreu. Désigne par analogie, le sacrifice de Christ sur la croix en faveur de ses élus seuls. Renoncement, privation que l’on s’impose volontairement ou que l’on est forcé de subir, soit en vue d’un bien ou d’un intérêt supérieur, soit par affection pour quelqu’un. Fait de renoncer à ses intérêts propres, voire, à sa propre vie, pour un idéal ou par intérêt envers son prochain. Se sacrifier les uns pour les autres, comme principe vital de la foi chrétienne authentique. Le sacrifice de soi, de l’importance qu’on se donne, ou de nos intérêts personnels, de nos choix ou capacités, est le renoncement en action et l’évidence de la Sainte Présence de Christ en une personne, qui a reçu l’appel irrésistible de la grâce.

Mais selon les sectes dites évangéliques, qui n’ont absolument aucune connaissance du principe du renoncement, et surtout qu’il est «l’image» de Dieu; ni ont-ils aucune notion de la Sainte Présence de Christ, qui pour eux n’est qu’un Saint-Esprit nébuleux, troisième personne de leur trinité chimérique, choses qui sont complètement étrangères à leur théologie de fonds de poubelles, ces nids de vermines déclarent:

«Nous n’avons pas été faits à l’image de Dieu de ce point de vue. Dieu nous a créé comme lui, afin que nous puissions refléter son image, et le représenter au sein de la création. Son image en nous est là pour lui rendre gloire. En ayant le statut de l’image de Dieu, chacun représente Dieu, bien que ce soit d’une manière imparfaite pour l’instant, et cette représentation devrait être traitée avec respect et dignité».

Ainsi pour les vipères évangéliques, la création de l’homme est imparfaite, car l’homme n’était, pour eux, qu’une représentation approximative, méritant le respect et la dignité, comme ils se le réclament dans l’aveuglement de leur orgueil et de leur arrogance; et puisque l’homme est créé à l’image de Dieu, cela voudrait dire que Dieu est imparfait. On comprend ainsi pourquoi les évangéliques sont tous des faux chrétiens, surtout du fait, qu’ils sont des défenseurs de la dignité humaine, par leur hérésie infernale du libre-choix, qu’ils disent avoir de Dieu qui n’aurait pas créé l’homme comme un esclave. Mais ils ignorent le fait, ou plutôt le rejette, que Dieu créa l’homme comme un «serviteur», terme qui signifie aussi «esclave». En fait, Jésus Lui-même s’est incarné dans la chair comme serviteur (Philippiens 2:1-11). Ce qui veut dire, que le Dieu des évangéliques est un faux dieu, et qu’ils sont un faux peuple de Dieu qui provient du mystère d’iniquité, c’est-à-dire, une fraude ou contrefaçon.

 

L’étymologie de l’image parfaite de Dieu

Abordons maintenant le sujet de «l’image» de Dieu au niveau de l’étymologie. Le terme «tselem», en Hébreu, est traduit par «image», en français; mais il porte aussi, d’entre plusieurs nuances fascinantes et enrichissantes, les significations «d’expression, d’avant-goût, d’incarnation, de miroir ou réflexion, et de perception», c’est-à-dire, qu’il décrit «une représentation ou reproduction parfaite, sans l’ombre d’aucune tache ou d’aucun défaut». En d’autres mots, l’homme, c’est-à-dire, la race adamique initiale, a été créé comme l’expression de Dieu, l’avant-goût de son incarnation pour racheter ses élus par le moyen de son renoncement sur la croix, afin de former une nouvelle race céleste et éternelle, avec toutes les caractéristiques humaines et divines à «l’image» de Christ. Cela nous indique que la création originale, dans laquelle nous sommes présentement, n’est qu’une phase de préparation pour atteindre ce but suprême qui nous est réservé. Pour la réalisation prodigieuse de cette révélation époustouflante, il était absolument nécessaire que l’homme tombe dans le péché de rébellion, comme il avait été déterminé d’avance en Christ, de toute éternité. Pour que cela se produise comme déterminé, Dieu imposa à l’homme une loi d’interdiction, qui irrita sa conscience au plus haut point, et l’homme flancha dans le péché de rébellion, de par son mécontentement de se soumettre à cette injonction divine. L’homme, dans la perfection de son existence primaire, devait prendre conscience que la créature n’est pas le Créateur, et qu’elle doit se soumettre à Lui pour son existence. Mais l’homme, dans son raisonnement charnel orgueilleux et serpentin, désirait être comme Dieu (Genèse 3:5), et déclara en bloc, comme un seul être, son indépendance, s’imaginant dans son raisonnement rusé, qu’il deviendrait le maître incontestable de son destin. Mais l’Esprit de Dieu toucha certains d’une profonde tristesse, et leur donna la promesse d’un Messie à venir, ce qui occasionna une division dans la race, ainsi que des conflits et des guerres, comme il fut prédestiné. Cette rébellion contre Dieu, déterminée d’avance pour se produire avec certitude, permit au décret de rédemption de se réaliser, par le renoncement de Christ dans son sacrifice sur la croix en faveur de ses élus seuls, tout comme il avait été préfiguré dans les moindres détails, depuis avant la fondation du monde. Depuis l’homme s’imagine être libre de marcher dans ses voies, et de faire ce qui lui plaît, mais le contraire est plutôt vrai. Ainsi il est écrit dans Jérémie 10:23: «Éternel! Je connais que la voie de l’homme ne dépend pas de lui, et qu’il n’est pas au pouvoir de l’homme qui marche de bien diriger ses pas». On pourrait dire aussi, que «l’homme propose, mais Dieu dispose», car rien de bien vient de l’homme. La créature n’a pas un mot à dire sur les agissements de son Créateur, elle doit plutôt s’abaisser dans la poussière de l’humilité et reconnaître sa Toute-puissance. Mais le décret de réprobation assure leur perdition et ils marchent vers leur destruction.

Or, pour les vipères évangéliques, le terme Hébreu «tselem», désigne littéralement «un objet qui est similaire à quelque chose d’autre, et qui en est la représentation». En d’autres mots, pour ces réprouvés, «l’image» de Dieu ou «Sainte Présence dans son renoncement de Lui-même», n’est qu’une approximation, «semblable» mais non entièrement identique, car elle serait seulement «similaire», c’est-à-dire, une contrefaçon. Cette logique subtile et subversive, est celle du christianisme contrefait moderne, et nous n’en sommes pas surpris, puisque Dieu leur a donné une puissance d’égarement pour qu’ils croient au mensonge, afin qu’ils soient condamnés.

Nous en venons au terme «demûwth», qui en Hébreu est traduit par le mot «ressemblance», en français. Il est utilisé en Hébreu pour mettre l’emphase sur le premier mot ou «image», et signifie «pareil dans tous ses aspects». Les deux termes sont utilisés dans le texte de Genèse, faisant en sorte que l’homme et la femme sont, non seulement dans leur ensemble ou collectivité initiale, l’expression véritable de Dieu, mais aussi sa Réflexion sublime et parfaite, nous indiquant que «l’image», et «ressemblance» de Dieu, sont en réalité «la Réflexion de l’Esprit des vivants dans les expressions de la raison en l’homme», et non ses traits ou caractéristiques physiques. En d’autres mots, il s’agit de la Sainte Présence en l’esprit de l’homme de sa nature humaine, qui avant la chute en Éden, était «l’image» parfaite et identique de Dieu, que l’Esprit des vivants avait soufflé en l’homme, pour qu’il devienne «une âme vivante» (Genèse 2:7). Le souffle que l’homme reçu est en Hébreu le «naphach», c’est-à-dire, «le respire, la vie, l’expression, la conscience ou perception de l’existence, la révélation de son identité, animé en l’homme par la Sainte Présence de l’Esprit des vivants. Ce terme porte aussi les significations d’être allumé ou être intelligent; d’être brillant; de raisonner ou réfléchir; mais aussi dans un sens négatif d’être attristé; de bouillir de rage, dont le sens littéral est d’être brûlé, devenir noir ou carbonisé; d’être dédaigné; d’être rejeté ou disgracié». Les significations de ce terme rejoignent celles de «nachash», utilisé dans Genèse 3:1, et généralement traduit par «serpent», mais qui signifie aussi «être intelligent, être brillant, être rusé ou serpentin dans sa faculté de raisonner et de penser», ce qui identifie sans l’ombre d’aucun doute, l’esprit de la nature humaine comme étant «le concurrent de l’Esprit de Dieu, le rival et l’adversaire, c’est-à-dire, le diable ou Satan». Le mot «naphach», dans sa dégradation grammaticale de «naphal», est utilisé pour décrire Caïn dans sa rébellion et le meurtre de son frère Abel, et aussi le fait que dans sa condamnation, qu’il fut carbonisé pour devenir le père de la race noire, c’est-à-dire, les disgraciés ou rejetés. Mais il est utilisé aussi pour décrire les «nephilim», ou race de géants, qui sont littéralement les «disgraciés» de la race de Caïn. Tous ces termes proviennent d’une même racine hébraïque, et sont tous reliés ensembles de différents contextes pour indiquer une seule et même chose, à savoir, l’esprit de la nature humaine déchue et corrompue dans sa rébellion, son orgueil, son arrogance, son égocentrisme, sa violence, sa cruauté, son hypocrisie, sa dépravation, et sa déchéance totale et irrémédiable. En d’autres mots, les fils ou confraternité du serpent, c’est-à-dire, les enfants du diable. Quel beau tableau pour dépeindre la race humaine, n’est-ce pas! Et pourtant c’est exactement ce que nous sommes tous. Heureusement que le Seigneur notre Dieu a déterminé d’en choisir certains avant la fondation du monde, pour obtenir la grâce du salut en Christ; autrement, il y a longtemps que la race humaine aurait été exterminée de la face de la terre. Néanmoins, si les élus véritables seront sauvés, le reste des hommes périront atrocement dans la lumière du dernier moment, qui surgira de chacun de nous, en nous transformant en «l’image» de Christ, le début d’une nouvelle création parfaite et éternelle.

 

Les expressions dans la raison charnelle

Nous devons premièrement réaliser que la puissance de la chair et la puissance de la loi, sont identique dans les expressions de la raison charnelle, dans les différents aspects de sa rébellion contre l’Esprit des vivants. Tout ce qui provient de l’homme est pour satisfaire ses passions et ses désirs, dans sa quête incessante d’atteindre la divinité, afin de remplacer Dieu par tous les moyens possibles. Il en fut ainsi au début des temps, et le sera aussi jusqu’à la fin des temps. Même que depuis l’intervalle du sacrifice de la croix en faveur des élus seuls, les hommes persistent dans leurs turpitudes, allant en empirant, jusqu’à la culmination déterminée par l’Esprit des vivants pour leur extinction.

Moralement, c’est-à-dire, au niveau de la loi et de la chair, nous sommes responsables de nos actions, par la connaissance de la loi d’interdiction qui nous attire à désirer le bien et le mal de par nous-même, afin que nous en portions la condamnation. Spirituellement, notre esprit immatériel n’est plus en relation avec Dieu, car nous avons été rejetés de sa communion pour tous les temps. Intellectuellement, nous sommes aveuglés à la vérité par notre raisonnement serpentin, notre logique est devenue illogique, notre langage sophistiqué n’est que duplicité, notre créativité artistique n’est qu’insanité à tous les niveaux, et notre complexité émotionnelle n’est que superficialité et présomption. De façon relationnelle, l’homme sombre inévitablement dans la prostitution spirituelle, comme nous voyons dans les bordels ecclésiastiques. (Voir: Les bordels chrétiens.) Son unité maritale est complètement instable, et pleine de conflits interminables. Son unité familiale est dysfonctionnelle de par l’entêtement de tous et chacun. Sa vie d’église supposément chrétienne, n’est que prétention et idolâtrie abjecte. Ses relations amicales sont purement égocentriques. Ses relations amoureuses ne sont que perversions. Et son mandat imaginaire de dominer sur la création, n’est que corruption et destruction.

Effectivement, «l’image» de Dieu en l’homme a été perdue lors de la chute en Éden, elle n’est plus présente chez l’homme depuis ce temps, et il fut condamné à se nourrir des imperfections des réflexions fallacieuses de sa nature humaine déchue et corrompue, à tous les niveaux de sa vie de tous les jours. Son existence est devenue morne, misérable et lamentable. Mêmes les plus riche qui se vautrent dans les plaisirs du péché, se croyant en sécurité, ne peuvent en échapper. En d’autres mots, la malédiction de Dieu est sur tous sans exception, hommes, femmes et enfants. Même le nourrisson dans le sein de sa mère n’est pas épargné. L’homme naturel ne porte plus en lui «l’image» de Dieu, mais «l’image» du diable, sa personnalité est complètement satanique. Tout ce qu’il fait est pour sa gloire personnelle et sa fierté d’esprit. Que ce soit en bien ou en mal, ses agissements sont toujours centrés sur lui-même, de ce qui lui est avantageux ou profitable.

Cela est évident surtout dans trois domaines, le religieux, le politique, et l’économique, c’est-à-dire, la trinité satanique. Les trois sont les domaines de la contrefaçon, de l’hypocrisie, du mensonge, de l’avarice, de la manipulation, et de l’intimidation, et les trois aspirent à la domination mondiale. On le voit surtout en cette fin des temps avec la pandémie chimérique du coronavirus, dans laquelle les dirigeants des trois camps désirent le contrôle total sur les peuples de la terre, en semant la peur pour les obliger de se faire vacciner, en menaçant les gens et les populations avec toutes sortes d’injonctions et de restrictions. Mais cela ne sera que pour un court temps, et ne fait qu’assurer leur condamnation et leur perdition, et dont la destruction est éminente, et les conséquences seront désastreuses pour tous. La race humaine sera complètement exterminée de la face de la terre, par un feu du ciel venant de Dieu, et la création entière sera détruite pour faire place à une nouvelle création parfaite et éternelle, qui sera la demeure des élus seuls. Nous serons tous transformés instantanément, en une nouvelle existence de réjouissance sans fin. Mais en même temps, le reste des hommes périront misérablement d’une mort la plus atroce inimaginable, et leurs âmes seront séquestrées dans les ténèbres les plus profondes, où ils subiront individuellement des douleurs et des souffrances sans fin, dans une isolation totale, récoltant les conséquences de tous les péchés commis par les hommes, depuis le début jusqu’à la fin des temps. Leurs noms seront effacés de la mémoire de Dieu et de tous les élus, et ils seront laissés à leur sort éternellement, sans possibilité d’y échapper.

 

L’image de Dieu restaurée en Christ

Malgré les insanités des évangéliques, qui déclarent dans leurs délires psychotiques, que «l’image de Dieu réside encore en l’homme» dépravé et réprouvé, «bien que celle-ci ne soit plus parfaite», indique la profondeur de leurs égarements et de leur ignorance:

«Bien qu’une partie de l’image de Dieu réside en nous, on ne reflète pas aussi bien qui Il est, comme on le faisait avant la chute. Dans notre vie ici-bas, les croyants sont appelés à grandir progressivement à la ressemblance de Dieu».

Premièrement, comme nous l’avons déjà souligné, une «image» imparfaite de Dieu, ne peut provenir que d’un Dieu imparfait. Cette notion aberrante des évangéliques est un blasphème hautain contre la Souveraineté absolue et parfaite du Dieu Tout-puissant, qui est le Maître sur toutes choses. Que son «image» soit imparfaite et demeurerait encore dans l’homme qui l’aurait salie par ses péchés, est une contradiction totale à tout ce que la Bible enseigne sur Dieu et sur le péché. Dieu et son «image», c’est-à-dire, sa «Sainte Présence dans son renoncement», sont un ou identique, et ne peuvent de ce fait être considéré séparément, comme leur Dieu à trois têtes pour des crétins sans têtes. «L’image» de Dieu correspond à sa Sainte Présence qui, par son renoncement, habitait en l’homme lors de sa création. Un Dieu parfait ne peut demeurer avec le péché, ni tolérer sa présence. En d’autres mots, il est impossible que «l’image» de Dieu demeure en l’homme depuis le péché de rébellion en Éden. L’homme a été rejeté de la grâce de la Sainte Présence divine de l’Esprit des vivants, son «image» a été retirée de l’homme, et la communion entre les deux a été brisée pour tous les temps (Genèse 3:22-24; 6:5-7).

Leur notion que les croyants, supposément chrétiens, sont «appelés à grandir progressivement à l’image de Dieu», est une torsion malicieuse et diabolique des Saintes-Écritures, qui n’enseignent aucunement une telle perversion de la vérité. Cette position néfaste de chercher à grandir progressivement dans «l’image» de Dieu, revient à dire, que le salut est par les œuvres ou efforts de la nature humaine déchue et corrompue, dans ses vaines tentatives de plaire à Dieu par une foi intellectuelle ou émotionnelle, qui n’est que de la présomption basée sur des apparences, des suppositions, et des approximations, tous des contrefaçons de la vérité. «L’image» de Dieu n’est pas restaurée par les désirs ou efforts d’un croyant, ni par son obéissance et sa persévérance. La puissance de la chair et de la loi ne peut rétablir la grâce de la communion avec Dieu, cela est entièrement impossible. Un seul peut accomplir un tel miracle, à savoir, Jésus-Christ, qui est Lui-même la seule et véritable «image» de Dieu (Hébreux 1:3), car il est Dieu Lui-même manifesté dans la chair (Jean 1:14; Philippiens 2:1-11; 1 Timothée 3:16).

Comme nous pouvons le constater dans Colossiens 3:9-10 (Bible Segond), utilisé par les vipères évangéliques dans une vaine tentative de prouver leur abomination:

«Ne mentez pas les uns aux autres, vous étant dépouillés du vieil homme et de ses œuvres, et ayant revêtu l’homme nouveau, qui se renouvelle, dans la connaissance, selon l’image de celui qui l’a créé.»

Or, la première chose que ce passage nous dit est de ne pas mentir, ce que les évangéliques font constamment en tordant le sens des Saintes-Écritures, ainsi que dans leur sport favori du commérage dont ils sont les champions, et en déformant la vérité révélée pour ériger leurs nombreuses fausses doctrines.

Deuxièmement, l’expression «revêtir l’homme nouveau» est, dans l’original le Nouvel «Homme», un style figuratif qui se rapporte à notre identification à Christ par sa Sainte Présence, qui vient habiter en ses élus véritables, et non dans des pourceaux évangéliques, qui traînent la vérité dans les excréments de leurs porcheries ecclésiastiques. Le mot «revêtir», ou «enduo», en Grec, signifie littéralement «s’enfoncer», dont une des nuances est «d’être pénétré», c’est-à-dire, «d’être surmonté, d’être vaincu.» Il est intéressant aussi de voir qu’un des synonymes du mot «revêtir», est «incarner», dans le sens d’être «revêtu d’une divinité ou d’un être spirituel, de recevoir une re-présence ou deuxième présence». Nous voyons aussi que l’expression «homme nouveau», ou «noteros», en Grec, dans lequel le mot «homme», ne se trouve pas dans le texte, signifie «récemment né», ou «récemment engendré», ou plus précisément «Nouvelle Création», à savoir, «une conception déterminée», c’est-à-dire, «produire un changement d’existence».

Clairement, selon tout ce que nous venons de voir, «revêtir l’homme nouveau», ou «Nouvel Homme», se rapporte au fait que Christ est venu habiter en ses élus par sa Sainte Présence, en vue de notre formation et de notre transformation finale. En d’autres mots, il s’agit du début d’une nouvelle création, dans laquelle, les élus débutent leur formation en de nouvelles créatures, tout comme un papillon dans son cocon, ou la gestation d’un enfant dans le sein de sa mère. Or, le point central dans ce changement prodigieux, n’est pas la créature, mais le Créateur qui produit une conception déterminée depuis avant la fondation du monde, par sa re-présence en nous qui avait été retirée depuis la chute en Éden, mais restaurée par sa grâce. Toute la gloire et la puissance lui revient, et nous lui en sommes reconnaissant.

Mais les pourceaux évangéliques interprètent ce passage comme signifiant:

«La restauration de l’image de Dieu en nous, les croyants, se fait par le renouvellement de l’intelligence, en délaissant notre nature pécheresse. En grandissant en maturité chrétienne, nous rétablissons peu à peu l’image de Dieu en nous». Cette doctrine répugnante est à vomir.

En d’autres mots, pour les réprouvés évangéliques, ce n’est pas Christ qui produit les changements en le chrétien, mais eux-mêmes par leurs choix, leurs efforts, leur obéissance, et leur persévérance dans un faux raisonnement abominable de la nature humaine déchue et corrompue. Ce sont eux, par leur affirmation, qui revêtissent, c’est-à-dire, qui sont eux-mêmes «l’homme nouveau», et non le «Nouvel Homme ou Christ», qui prend place en ses disciples pour les transformer, selon le bon plaisir de sa volonté et la gloire de son Nom.

Il n’y a qu’une seule personne qui est «l’image parfaite» de Dieu, comme il est dit dans Colossiens 1:15:

«Il est l’image du Dieu invisible, le premier-né de toute la création.» (Colossiens 1:15). La Bible est pourtant claire sur ce sujet. Mais encore faut-il avoir des yeux pour voir, et être capable de réfléchir droitement par la Sainte Présence de Christ, qui habite strictement le cœur de ses élus véritables.

 

L’image dans la Sainte Présence de Christ en nous

La lumière de la vérité est un des aspects de la Sainte Présence de Christ, qui vient habiter en ses élus véritables. Elle est le «reflet», ou «image» de l’Esprit des vivants qui nous éclaire dans sa grâce merveilleuse, sans laquelle il n’y a pas de salut possible.

Dans la deuxième épître aux Corinthiens au chapitre 4:2-7 (2 Corinthiens 4:2-7), l’apôtre Paul nous parle de la gloire de Christ, qui est l’«image» de Dieu. Il n’y a donc aucune différence entre «l’image» de Dieu, et la «gloire» de Christ qui vient habiter en nous comme lumière de la vérité. Il est évident, que les évangéliques falsifient la Parole de Dieu avec leurs duplicités abominables.

2
Mais nous avons rejeté les choses honteuses cachées, ne nous conduisant point avec artifices, ni sans subtilités pour falsifier la Parole de L’ESPRIT DES VIVANTS, mais nous nous recommandant nous-mêmes auprès de toute conscience d’homme devant L’ESPRIT DES VIVANTS, par la manifestation de la vérité. 2 Co. 2. 17; 2 Co. 6. 4;

3
Mais si notre message de la grâce est voilé, il est voilé pour ceux qui périssent, 2 Co. 2. 15; 2 Th. 2. 10;

4
Pour les incrédules, dont le magistère* de ce siècle a aveuglé le raisonnement, afin qu’ils ne soient pas éclairés par la lumière du glorieux message de la grâce de Christ, qui en est le reflet, car étant L’ESPRIT DES VIVANTS Lui-même. És. 6. 10; Jn. 12. 40; Jn. 14. 9; Ph. 2. 6; Col. 1. 15; Hé. 1. 3; *l’autorité de la loi qui s’opposait à la grâce souveraine de Christ.

5
Car nous ne nous prêchons pas nous-mêmes, mais nous prêchons Jésus-Christ L’ADMIRABLE; et pour nous, nous sommes vos serviteurs, à cause de Jésus.

6
Car L’ESPRIT DES VIVANTS qui a dit que la lumière resplendisse au milieu des ténèbres, est celui qui a resplendi dans nos cœurs, pour faire briller la lumière de la connaissance de la gloire de L’ESPRIT DES VIVANTS en la personne unique de Jésus-Christ. Ge. 1. 3; 2 Pi. 1. 19;

7
Or, nous avons ce trésor dans des vases de terre, afin que l’excellence de la puissance soit attribuée à L’ESPRIT DES VIVANTS, et non pas à nous. 1 Co. 2. 5; 2 Co. 5.

L’expression «dieu de ce siècle» du verset 4 (2 Corinthiens 4:4), se rapporte, dans ce contexte, à l’autorité de l’époque, c’est-à-dire, au magistère de la loi du temple qui dominait sur tous les Juifs. Par analogie, la même expression se rapporte à l’esprit de la chair qui domine sur tous les hommes. En d’autres mots, les ordonnances et principes obligatoires de la loi morale, sont ce qui aveuglent les hommes à la liberté de la lumière glorieuse de la vérité en Christ (Romains 7:4-25).

La vérité du message de la grâce, qui se nomme aussi l’Évangile, est ce qui ouvre nos yeux à la lumière glorieuse de la Sainte Présence de Christ, qui est venu habiter en nous pour nous libérer, nous instruire et nous diriger dans ses voies. Nous marchons donc dans la réalisation de cette vérité, car il n’y a plus aucune condamnation sur nous (Romains 8:1). L’esprit de la chair, de notre nature humaine déchue et corrompue, a été vaincu par le sacrifice de la croix (Colossiens 2:14-15). La tête du serpent a été écrasée, c’est-à-dire, que l’agitation du raisonnement charnel a été vaincu par le sang de la croix, dans le renoncement de Christ en notre faveur et comme notre Substitut (Genèse 3:15; Apocalypse 12:10-11). La chair a perdu sa puissance de nous culpabiliser et de nous condamner. L’esprit de la nature humaine déchue et corrompue, c’est-à-dire, le diable ou Satan, a été défait par la Réflexion de la Sainte Présence de Christ en ses élus véritables.

Christ en nous a déclenché le processus de renaissance, pour notre formation et transformation finale en son image parfaite et glorieuse, lors du grand jour de son Émergence du cœur de ses élus, dans une lumière éblouissante et tellement puissante, que les cieux et la terre passeront avec fracas, dans l’embrasement de tous leurs éléments.

Or, la puissance merveilleuse et prodigieuse du message de la grâce, qui annonce la réalisation de la révélation glorieuse, que Christ est revenu le jour de la Pentecôte, suivant son ascension ou exaltation comme Sainte Présence, est venu habiter le cœur de ses élus pour tous les temps, jusqu’à la fin des temps. Cette période se nomme le temps de l’Église, ou selon le Grec original, le temps de «l’Appel» ou «Convocation à renaître». Il s’agit de l’appel irrésistible de la grâce envers les élus seuls, et par lequel, Christ vient habiter en eux. Cet «Appel» est nommé aussi dans l’Apocalypse sous la désignation «d’Évangile Éternel», du fait que la grâce de la Sainte Présence de Christ qui vient habiter en nous comme notre Substitut, par la puissance sublime de son renoncement, est notre salut et la vie éternelle: «Et je vis un autre ange qui volait au milieu du ciel, portant le message de la grâce éternelle, pour l’annoncer à ceux qui habitent sur la terre, à toute nation, et tribu, et langue, et peuple» (Apocalypse 14:6).

Vous remarquerez que le contexte de ce passage dans l’Apocalypse, se rapporte aux derniers temps dans lesquels ont se trouve présentement. Il est question d’un ange qui apporte ce message glorieux aux peuples de la terre, peu de temps avant la destruction de la race humaine, lors de l’apparition finale de Christ en ce monde. Puisque le texte de l’Apocalypse est rédigé en style imagé ou symbolique, et que le mot «ange» signifie littéralement «messager», dans le Grec, on obtient la révélation que l’Esprit ou Réflexion de Christ en nous, a forgé un élu comme messager de sa Sainte Présence, pour annoncer la lumière de la vérité aux peuples de la terre. Considérant que nous vivons dans l’ère de l’informatique, dont les voies de communications abolissent toutes les frontières entre les nations, nous réalisons que ce messager ou dernier des prophètes, traverse son message par voie de l’Internet, et ceux qui ont été désignés pour le recevoir sont les élus véritables de la fin des temps. Il est le représentant, le témoin véritable de la grâce en Jésus-Christ qui, par sa Sainte Présence, appel irrésistiblement tous ceux qui ont été choisi depuis avant la fondation du monde à venir à la vérité. De même le Bon Berger, qui est la Sainte Présence de Christ en nous, appel ses brebis par leurs noms, et elles viennent et le suivent car elles connaissent sa voix, et il les dirige dans des bons pâturages (Jean 10:1-18). Ainsi la lumière de la vérité pénètre dans les cœurs affamés, et qu’ils reçoivent la plénitude de la gloire de Christ.

Nous touchons donc à la pleine réalisation des promesses divines, s’accomplissant dans la Sainte Présence de Christ qui vient habiter en chacun de nous, pour que nous possédions avec assurance, l’héritage des saints qui nous est réservé.

L’apôtre Paul avait vu la gloire de Christ sur le chemin de Damas, lorsqu’il entendit ces paroles pénétrer dans sa conscience: «JE SUIS Jésus…». En un clin d’œil l’identité de Christ se révéla à lui dans toute sa gloire. La lumière de la vérité fut tellement puissante, qu’il tomba par terre et devint aveugle pour trois jours et demi, exactement le même moment de temps que le Seigneur Jésus passa dans la tombe, avant de ressusciter dans une lumière glorieuse. Ce fut à ce moment que Paul fut ravi au troisième ciel, pour recevoir les instructions par rapport à son ministère, de nous dévoiler la profondeur du mystère de Dieu, à savoir, Christ en nous, l’anticipation de la gloire.

Par la rédemption dans le renoncement total et parfait de Christ sur la croix, la lumière de la grâce souveraine dans la révélation de la Royauté de Christ en nous, fait luire la lumière de la vérité dans le cœur d’un élu véritable, c’est-à-dire, dans un misérable vase de terre, comme nous le sommes tous, pour y déposer le trésor de sa révélation glorieuse.

Dans le chapitre précédent (2 Corinthiens 3:17-18), il mentionne que nous sommes transformés à la «ressemblance» de Christ, et ce, en utilisant l’analogie du miroir:

17
Or, L’ADMIRABLE Jésus est l’Esprit; et où est l’Esprit de L’ADMIRABLE, là est la liberté. Jn. 4. 24; 1 Co. 15. 45;

18
Ainsi nous tous qui, le visage découvert, contemplons dans l’Écriture, comme dans un miroir, la gloire de L’ADMIRABLE, nous sommes transformés à son image, de gloire en gloire, comme par l’Esprit de L’ADMIRABLE. 1 Co. 13. 12; 2 Co. 5. 7;

Or, le mot «miroir», ou «katoptrizomai», en Grec, signifie «réfléchir», et «contempler» la vérité. Il rejoint le sens du mot «Esprit», ou «pneuma», en Grec, dont la signification est «mouvement du vent, la Réflexion». Ainsi la Sainte Présence de Christ se révèle dans notre réflexion, et contemplation de la vérité dans ses instructions, pour notre formation en vue de notre transformation finale.

 

À Christ seul soit la Gloire
Amen!

Rédigé par Jean leDuc sous la direction de Christ
pour la communauté mondiale des élus.

 

Source: LeVigilant.com — Jean leDuc

 

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